Arrivée de Adrienne Zimmerman

Adrienne qui venait d'arriver au volant de sa voiture, le van avec Figaro sont étalon adoré était à l'arriére... Une fois arrivée à Heartland elle gara la voiture et alla vérifier que son bel étalon allait bien et vérifia qu'il avait encore de l'eau et du foin... Puis elle partie en direction des bureaux et toqua à la porte de Anna et attendie.

*Sans doute l'une des directrices*

pensa la jeune fille.
Elle toqua timidement en éspérant que Figaro ne lui défonce pas le van comme la dernière fois que quelqu'un avait voulue le faire descendre sans qu'elle soit là... Elle plongea dans ses pensées et souhaitait que Figaro se sente bien ici, elle se souvint que le bel étalon gris avait défoncé des barrières au paddock et elle éspérait qu'il s'entende mieux avec les chevaux d'ici... A la la que de souvenir avec lui...

[Attention au respect des 10 lignes hors-dialogue obligatoire. Edite et je répondrai ]

[Edité]

États-Unis. Virginie. Meadowville. Heartland. Le bureau d'Anna Sanders, vide. Enfin vide n'est pas tout à fait le mot qui convient. Son parquet en chêne qui renvoyait sur les murs pâles le reflet de la cheminée tant il était ciré aurait pu combler à lui seul le vide représenté par l'absence de la jeune femme. Mais Taylor ne s'était pas arrêté à ça. Elle avait pris soin de meubler le bureau de deux tableaux, l'un qui recouvrait presque la totalité du mur ouest de la pièce, représentant une scène de bataille où l'on pouvait bien sur apprécier la finesse des détails, le mélange osé et pourtant harmonieux des couleurs, la posture des chevaux, les expressions des visages. Et l'autre, de taille plus ... conventionnelle, qui se situait à égale distance des deux fenêtre. Une bibliothèque - qu'Anna, au grand regret de Taylor, avait voulu de taille standard - protégeait quelque-uns des livres, traités, magazines préférés d'Anna. Ils était rangés par catégories et par ordre alphabétique. Une organisation qui paraissait surprenante pour la jeune femme. Les rideaux entrouverts laissaient passer quelques rayons d'un soleil timide car à peine levé en cette heure matinale.
Le bureau, de style victorien, offrait tout le confort est l'aménagement nécessaire à une utilisation efficace et sans efforts. Concept dont Anna ne pouvait se plaindre, elle devait avouer que sur ce plan, sa sœur n'aurait pas pu faire mieux. Il aurait pu faire baver d'envie le moindre antiquaire à peu près calé sur le sujet ... si on pouvait en apprécier les lignes et les détails. En effet, il croulait sous presque une tonne de paperasses en tout genre, et pourtant il luttait courageusement contre la masse, ne se laissant pas même plier sous le poids des papiers.
La cheminée , située sur le mur est, rendait la pièce déjà si chaleureuse encore plus confortable et accueillante. Elle avait été créé par un grand architecte et respectait les normes écologiques en vigueur. Elle était entourée par un tapis des plus beaux effets et par deux fauteuils, qui eux-même encadrait une table basse en bois massif.
Bref, même pour un parfait inconnu, le bureau paraissait à la fois luxueux et simple, confortable et pratique. A l'image de sa propriétaire. Taylor avait fait des miracles.
Mais il était vide. Anna n'était pas en train de téléphoner pour passer une commande, elle n'était pas non plus en train de remplir un formulaire administratif, elle était encore moins en train de lire un de ses romans préférés. Elle n'était pas là. Et pourtant, de l'autre côté de la porte imposante attendait une jeune femme. C'était son premier jour. Et on aurait pu croire qu'il commencerait mal si Anna Sanders n'avait pas fini par arriver. Mais pas par où on l'attendait.
Elle arriva du couloir, déambulant d'un pas si léger que son employée ne l'avait pas remarqué. Elle se glissa derrière elle.

- Bonjour. Vous cherchez quelque chose ?

Adrienne qui était plongée dans ses pensées vis à vis de Figaro qui risquait fort de faire des bêtises s'il commençait à s'ennuyer sortie de ses pensée en entant une jeune femme s'adresser à elle... Adrienne ne l'avait même pas entendue arriver et sursauta légèrement en la voyant, elles étaient encore dans la pénombre du matin, aussi elle ne vis pas très bien la jeune fille... Après quelques secondes pour qu'elle puisse reprendre ses ésprits elle repris l'usage de la parole et s'adressa à la jeune fille...

Elle attendit que la jeune fille qu'elle commençais à bien voir dans le jour naissant, lui réponde... Elle se sentait gênée et pas trop à son aise, elle savait que malgré tout Figaro resterait calme mais si quelqu'un s'approchait du van et voudrait le faire sortir, ce serrait l'appocalyspe et elle savait que ce ne serrait pas facile de le calmer.... Elle croisa les doigts pour que la paperrasse se fasse assez rapidement pour sortir le jeune étalon....

Sourire rassurant. Coup d'œil amical. Que de gestes ostentatoires destinés à mettre à l'aise Adrienne qui semblait à la fois gênée et pressée. Anna écouta attentivement la rapide explication de l'autre jeune femme. Les rayons du soleil s'approchait timidement de sa chevelure pour s'y fondre en douceur et sans heurts, donnant l'impression que le soleil n'éclairait qu'elle. Qu'Anna attirait tous les rayons sur elle. Effet dont la jeune directrice n'était pas absolument pas consciente.
Tout en tentant de se rappeler quel était le box du cheval, le numéro d'appartement de la jeune femme, ainsi que son métier, Anna invita Adrienne à entrer dans le bureau. Malgré elle, elle ne put s'empêcher de sourire en voyant tout le confort et le luxe dont le bureau n'était que le pâle reflet. Oui, Anna aimait son bureau. Elle pressentait qu'elle y passerait beaucoup de temps. Et qu'il s'y passerait beaucoup de chose.

- Asseyez-vous, je vous en prie. J'ai juste quelque renseignement à vérifier.

Puis, comprenant que la jeune femme n'avait que peu de temps à perdre à cause de son étalon, elle ajouta.

- Ça ne prendra qu'une minute. Je peux envoyer un palefrenier descendre votre cheval si vous voulez.

Elle s'assit sur son fauteuil, s'y abandonnant presque. Savourant l'engourdissement de ses jambes la quitter peu à peu. Sa tête lui tournait un peu, elle n'avait pas pris le temps de manger ce matin.
D'un coup de bras leste, elle écarta tous les papiers et sortit la fiche de la nouvelle.

En entendant la jeune femme lui proposer qu'un palfrenier sorte Figaro ne lui s'emblait pas une bonne idée mais puisqu'elle était là, elle n'avait plus qu'à éspérait que Figaro se tienne tranquille le temps qu'elle remplisse la paperasse... Elle s'assaya, mais quelque chose la taraudait descidément! Mais elle ne savait pas quoi... En espérant que tout se passe bien pour Figaro... Elle regarda la jeune femme se mettre à l'aise à son bureau et feuilleté des documents, sans doute à la recherche des siens...

Adrienne essaya de se calmer, essayant de se persuader que Figaro ne fairait pas de bêtise en attendant qu'elle remplissait ses papiers... Anna s'emblait continuer de chercher ses papiers et elle descida de lui faciliter la tâche...

Elle garda son calme tant qu'elle le pouvait et espérait qu'Anna trouverais rapidement ses papiers.

Anna poussa un soupir qui se voulait discret. Sur la fiche, elle aperçut les renseignements qu'elle cherchait. Figaro de l'Est. Bloc B. L'essentiel était su, à présent. Les renseignements étaient notés de la belle écriture de sa sœur Taylor. Elle fronça les sourcils et ajouta.

- Bien. Je vais vous accompagner pour vous montrer quel est le box de votre cheval.

Consciente de l'empressement de la jeune femme, elle se leva rapidement de sa chaise. Sa tête fut étourdie quelques secondes mais elle continua malgré tout à marcher, tentant de faire comme si de rien n'était. Elle tribucha. Mais elle pouvait facilement faire passer ça sur le compte de la maladresse.

- Suivez-moi.

A présent qu'elle marchait tranquillement, ou presque, elle pouvait pleinement analyser les propos d'Adrienne. Son cheval était possessif. La plupart des cavaliers sous-estimaient le problème de la possessivité du cheval. Elle révélait plus une hiérarchie mal établie qu'une affection particulière. Elle se risqua à conseiller la nouvelle arrivante.

- Peut-être devriez-vous vous penchez sur le problème de la possessivité de votre étalon.

Elle s'arrêta là, prudente. C'était le premier jour de la nouvelle, il ne s'agissait donc pas de la buter.

Adrienne écoutait attentivement les propos d'Anna...

Elle était du genre assez ouverte et ne rechignait pas à accepter les conseils qu'on lui donnait, bien que sur le coup elle était plutot du genre à les refuser... Ceci dit pour que son étalon arrête de faire des dégâts et accepte d'autre cavalier qu'elle à proximité, il faudrait bien essayer de faire quelque chose... Adrienne suivit la jeune fille sur le parking... Bloc B qu'elle avait dit pour Figaro. Elle sentait que la jeune n'allait pas bien aussi elle lui proposa

Elle attendit la réponse tout en marchant calmemant vers le van... Figaro s'emblait avoir été calme... Elle attendit Anna qui s'était arrêtée...

[Attention aux 10 lignes hors-dialogues obligatoires :d]

Anna ne put cacher le sourire qui se dessina sur ses lèvres, elle était bien trop heureuse qu'on lui propose à manger et qu'en plus, on accepte ses conseils aussi facilement.

- Je veux bien oui. Je ne crois pas tenir la matinée sinon.

Elle laissa s'échapper un petit rire, discret, sobre.
Dehors, la soleil filtrait à travers les nuages, un petit vent balayait le sable de l'allée. Tout était étrangement calme. Seul s'entendaient le souffle des chevaux, le bruit des pas des deux jeunes femmes. Bientôt, Heartland serait plein de vie, les gens viendraient, repartiraient ... Les chevaux aussi.
Anna se concentra sur le meilleur moyen d'expliquer à son élève le principe de possessivité.

- Tu vois dans un troupeau sauvage, la hiérarchie s'organise autour d'un étalon chef nommé alpha. Cet étalon choisit quelques juments avec lesquelles il forme un clan. Tu vois, cet étalon est très possessif avec ses juments, il ne peut pas se permettre de se les faire chiper par un autre étalon.

Elle se racla la gorge et passa une main dans ses cheveux.

- Tu es une des juments, il est l'étalon alpha.

Anna guetta sa réaction du coin de l'œil. Ce n'était pas facile d'entendre ça.

- Dans une relation homme-cheval qualifiée de "normale" ou "saine", tu es l'étalon alpha, et ton cheval est un étalon soumis. Je pense que le problème vient de là.

[je l'ai ai encore calculé j'en suis a 10 tout pile mdr]

Adrienne écouta attentivement ce que Anna lui disait tout en cherchant le pain et le sucre qu'elle avait dans sa voiture sur la banquette arriére.... Elle commençais à se rendre compte à quel point son étalon était possésif et jalou dés qu'elle la voyait avec quelqu'un d'autre mais en même temps il était relativement proche tous les deux et jamais elle ne pourrait s'en séparer... Mais évidement les conseils d'Anna pouvait l'aider pour que Figaro ne soit pas aussi possésif, pas entièrement mais moins et qu'il accepte qu'elle soit avec d'autre personne et que lui se laisse carresser par d'autre personne qu'elle...

Elle regarda la jeune fille croquer dans le morceau de sucre et mordre à pleine dent dans le morceau de pain, elle sourie de plaisir, puis se tourna vers le van et continua de réfléchir à ce qu'Anna venait de lui dire...

[Je n'en compte que 9 moi oO. Bah, tant pis ...]

Anna hocha la tête, sobrement, sans laisser rien transparaitre de ses émotions. Intérieurement, elle jubilait. C'était agréable d'être écoutée et comprise en si peu de temps. Bien sur qu'elle l'aiderait. Elle aimait tant apprendre aux autres. Mais elle préférait rester prudente, elle n'avait jamais rencontré un tel cas, et elle n'avait qu'une vague idée de la façon dont elle pouvait le régler.

- Hmm oui je peux t'aider bien sur ... Seulement, si c'est toute votre relation qui est à revoir, je préfère faire quelques recherches avant. Pour m'assurer que je ne ferrai pas de bêtises.

Elle attrapa le pain et le sucre que lui tendait la jeune femme et croqua dedans avec entrain. Grâce à ça, elle allait pouvoir tenir jusqu'à midi sans avoir de vertiges. Elle n'aimait pas beaucoup l'idée qu'Adrienne l'aie vu dans un de ses moments de faiblesse mais sa fierté n'allait pas l'empêcher de s'écrouler pour cause d'hypoglycémie.

- Je te tiendrai au courant quoi qu'il en soit. Et merci pour le pain.

Tout en mangeant, elle leva le doigt vers le bloc B. La grande porte était ouverte, et logiquement, le box de l'étalon était prêt.

- C'est par là. Le nom de ton cheval est inscrit sur la porte. Tu veux de l'aide ?

Adrienne était heureuse que la jeune fille accepte de l'aider. Anna pris le pain et mangea avec entrain... En tout cas elle allait pouvoir mieu s'occuper de son étalon adoré... Et pourquoi ne pas proposé à Anna de le monter ou de l'approcher... Adrienne sentait que c'était ce qu'il fallait faire, il n'y avait que comme ça qu'elle pourrait voir comment l'étalon se comportait avec des étrangers et elle pourrait mieux le cerner...

En faite, Adrienne savait très bien comment l'étalon allait réagir, mais elle savait que Anna n'était pas une débutante et qu'elle saurrait réagir en cas de problème... En tout cas elle le souhaitait...

En réalité, elle se rendi cmpte que qon étalon était toute sa vie, elle le connaissait depuis trop longtemps et elle n'était pas du genre à proposer à n'importe qui de le monter...Elle attendit avec anxiété la réponse de Anna, mais en même temps elle mpouvait lui faire confiance elle le savait, et elle n'avait aucun besoin de s'inquièté, elle devait destréssé.... Ca devenait vraiment urgent qu'elle se calme, elle devait faire confiance à Anna, elle le devait à Figaro, pour que son relationnelle avec son étalon s passe mieux...

[EDITE]

[sans vouloir vexé personne ça fait deux mois que j'attend qu'on me réponde j'ai édité mon message....]

Oui, oui, on a vu, merci ! Mais c'est juste qu'Anna ne peut pas tout le temps se connecter

» Adrienne Zimmerman
» Adrienne Zimmerman
» Chambre de Adrienne